Lors de sa création en 1902, 24 actionnaires individuels ont investi dans la société Air Liquide. Aujourd’hui, ils sont désormais 470 000, dont 50 000 nouveaux actionnaires en 2020.

Air Liquide a été introduit à la Bourse de Paris en 1913. La société fait par ailleurs partie du CAC 40, indice boursier de référence du marché français, depuis sa création en 1987.

Air Liquide possède un Service actionnaires dédié à ces derniers au sein de son siège social. Plus de 30 experts sont disponibles afin de répondre à toutes leurs questions.

En participant à l’opération myAL myShare 2021, vos actions sont inscrites en votre nom propre sur un compte au nominatif pur, c’est-à-dire directement tenu par le Service actionnaires d’Air Liquide. Cela vous permet de bénéficier de nombreux avantages, comme la prime de fidélité de + 10 % sur le montant des dividendes perçus et sur le nombre d’actions gratuites attribuées lors des opérations d’attribution, après deux années civiles pleines de détention.

En 1987, Air Liquide a été la première société à créer son Comité de Communication auprès des Actionnaires (aussi appelé CCA) ! Présidé par Benoît Potier, ce comité est composé de 12 actionnaires, nommés pour trois ans.

Le terme “bourse” est né au 14ème siècle, lorsque des marchands belges se rendaient sur une place située en face d’une auberge tenue par une riche famille appelée Van der Beurse. On se rendait sur cette place que l’on nomma à l’époque “Ter beurse”, littéralement “à la bourse”. Au fil des années, ce terme est devenu celui que nous utilisons aujourd’hui, la bourse !

Le CAC 40 est l’indice boursier de référence du marché français. Créé en 1987, il sert à mesurer l’évolution du cours de bourse de 40 grandes entreprises françaises cotées la Bourse de Paris.

Au 31 décembre 2020, le capital d’Air Liquide était composé de 473 660 724 actions.

Au sein du CAC 40, Air Liquide a l’une des plus grosses parts de capital détenue par ses actionnaires individuels. En effet, ceux-ci détiennent 33% du capital de la société !

Alors que les transactions boursières se faisaient historiquement “à la criée” autour de la corbeille, la gestion des échanges à la Bourse de Paris est devenue entièrement électronique à la fin des années 1990.